Développé par Frederic Skinner, ce modèle met en avant que nos comportements sont influencés par leurs conséquences. D’ailleurs, la fréquence à laquelle une personne fume dépendra des effets provoqués par la cigarette sur cet individu.
En fonction de l’intensité du plaisir ou de l’apaisement ressenti suite au fait de fumer, à court et à long terme, la personne fumera plus ou moins. Si on a associé le fait de fumer à des situations très agréables (partage informel avec des collègues, prendre des pauses au travail, diminution du stress), les probabilités de continuer à fumer augmentent, même en dehors de circonstances agréables.